Aujourd'hui,
URGENT
Covid-19: la vaccination des Burkinabè débutera dans la première semaine de juin 2021.
Santé : un premier lot de 115.000 doses de vaccins contre la Covid-19 est arrivé au Burkina Faso. 
Oudalan: les populations de Tin Akof se réfugient près du camp militaire après une attaque terroriste. 
Santé: l'OMS valide le vaccin chinois Sinopharm pour usage d'urgence contre la Covid-19. 
Sécurité alimentaire: le CILSS prévoit une saison pluvieuse humide pour la campagne agricole 2021-2022. 
Coopération: le président Xi Jinping réaffirme l’engagement de la Chine en faveur de la solidarité et de la coopération avec l’Afrique.
Politique: Alassane Bala Sakandé rejette un appel de jeunes pour sa candidature à la présidentielle 2025. 
Somalie: l’Union africaine a nommé l’ancien président du Ghana, John Mahama, au poste de Haut représentant. 
Football: la CAF décide du report des éliminatoires de la Coupe du monde de la Fifa Qatar 2022.
Yako : un enfant de près de 14 ans s’est donné la mort jeudi, par pendaison au secteur n°4 de Yako (AIB).  

CULTURE

En prélude à la 28è édition du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco) qui se tient du 25 février au 4 mars 2023, Canal+ Burkina revisite les classiques du cinéma burkinabè. 

Le dimanche 19 février dernier, cinéphiles et professionnels du 7è art se sont retrouvés dans la salle Idrissa Ouédraogo de Canal Olympia Pissy pour revivre le film « Tilaî ». Premier réalisateur burkinabè a remporté l’Etalon d’or de Yennenga en 1991, Idrissa Ouédraogo qui a tiré sa révérence le 18 février 2018 est considéré comme l’un des pionniers du cinéma burkinabè.

Cinq ans après sa disparition, les cinéphiles se souviennent toujours du Maestro Idrissa Ouédraogo. Le réalisateur de « Tilaî », Etalon d’or de Yennenga (1991), Grand prix du jury du Festival de Cannes (1990) et le prix du meilleur long métrage au premier Festival du cinéma africain de Milan (1991) a été une fois de plus honoré dans la majestueuse salle qui porte le nom du réalisateur.

En rappel, Tilaï est l’histoire de l’inceste d’un jeune homme appelé Saga, condamné à mourir. Kougri son frère désigné pour le tuer s’y refuse et laisse s’enfuir Saga à la seule connaissance de sa mère et Nogma sa fiancée. Celle-ci le rejoint plus tard jusqu’au jour où Saga apprend que sa mère est mourante. Il décide alors de revenir au village…

Pour certains puristes du domaine, il est important de revisiter certains classiques du cinéma burkinabè à la veille d’un évènement aussi important comme le Fespaco. Pour Aminata Diallo/Glez dite Kady Jolie, responsable Canal Olympia Idrissa Ouédraogo de Pissy, en faisant un clin d’œil à ces films qui ont fait les beaux jours du cinéma burkinabè, « c’est un Master class » pour la nouvelle génération. Une façon pour Canal+ Burkina de soutenir le cinéma africain en général et burkinabè en particulier.

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